Amertume.
Mon cœur étouffe dans son costume
Je lui demande de se taire
Qu’il prenne le temps de se fondre dans ma raison
S’enfuir à l’aube et sous la pluie
Les mains levées au ciel
Je me sens si seul innocent debout sous les cieux
Les arbres se plient les oiseaux à tire-d’aile
S’envolent effrayés par la rumeur
Comment attirer l’amour et son cortège
Dans notre vie et dans notre cœur
Que demander à ma courte vie
Peux-tu noyer la rancœur ?
Voguer sur les flots pour enfin trouver l’amour
Les vagues des grands océans
Se brisent sur mon âme
Et je vacille si las, esseulé debout résigné
Les arbres se plient les oiseaux à tire-d’aile
S’envolent effrayés par la rumeur
Comment attirer l’amour et son cortège
Dans notre vie et dans notre cœur
Le corps voûté les mains ouvertes
Au milieu de la foule
Je me sens si seul innocent debout sous les cieux
Les arbres se plient les oiseaux à tire-d’aile
S’envolent effrayés par la rumeur
Comment attirer l’amour et son cortège
Dans notre vie et dans notre cœur
Les arbres se plient les oiseaux à tire-d’aile
S’envolent effrayés par la rumeur
Comment attirer l’amour et son cortège
Dans notre vie et dans notre cœur
Dans notre cœur.