Attiré par la samba du Brésil
Mon cœur s’envole pour ce pays tranquille
Et les costumes de paillettes qui brillent
Sur des filles qui défilent en bas résille
Le sable blanc sous la lune du Brésil
Chantant les notes de cette musique
Rend tous les cœurs volages et fébriles
Pour la dame belle ronde juvénile
Dans les ruelles des favelas
De la joie, de la musique
Pour les gens d’ici et pour moi
Et moi qui n’en peux plus, n’en peux plus
De tous ces airs de noctambules
Dans les rues de Rio de Janeiro
Le carioca fait monter le tempo
Et je m’envole pour le Mato Grosso
Laissant derrière moi tous ces airs afros
Et comme le dernier conquistador
Dans le Maracaña en matador 10
Qui laisse filer les ultimes aurores
Je retourne dans la foule bariolée encore
Dans les ruelles des favelas
De la joie, de la musique
Pour les gens d’ici et pour moi
Et moi qui n’en peux plus, n’en peux plus
De tous ces airs de noctambules